Un coeur simple

par Isabelle Andréani

théâtre

1h20 À partir de 12 ans

Cette pièce est adaptée d’une nouvelle de Gustave Flaubert. Elle est issue du recueil Trois contes.

Gustave Flaubert décrit l’histoire d’une servante au XIXe siècle, en Normandie, Félicité de son prénom…

La pièce adaptée et mise en scène par Isabelle Andréani a été nommée aux Molières 2019 catégorie Meilleur(e) Seul(e) en Scène. »

Cette pièce est produite grâce aux soutiens des mécènes et adhérents du théâtre le quai

Mai 2022 – Jeu 12 – 20h30
Tarif plein : 20 €
Tarif réduit : 16€ (-18 ans)
Réservation : la Maison du Boulanger – 03 25 40 15 55

l’histoire

Le texte est un hommage à ces femmes simples du XIXème, à la fois indispensables à la vie bourgeoise et invisible aux yeux de tout le monde. Dans cette nouvelle, Flaubert prend pour modèle « mademoiselle Julie » celle qui fut à la fois la servante de ses parents, qui fut donc sa nourrice puis qui travailla à son service pendant plus de 50 ans. Dans cette pièce, « Félicité » ne se révolte jamais de sa dure condition, au contraire, elle prend soin des autres, les voit disparaître puis reporte tout l’amour dont elle déborde sur son perroquet « Loulou ».

l’interprétation et la mise en scène

Actrice et metteur en scène, Isabelle Andréani est habitée ce personnage au coeur pure. Poignante d’empathie, elle interpréte avec intelligence Félicité au coeur simple dans une mise en scène magnifique de Xavier Lemaire.

https://youtu.be/a3tQPFQIF2Q

Adaptation d’ Isabelle Andréani, d’après Un coeur simple de Gustave Flaubert
mise en scène Xavier Lemaire

Extraits de presse :
« Dans « Un coeur simple », Isabelle Andréani joue toutes les femmes oubliées du monde » HUFFPOST

« Voix parfaite, comme habitée par son personnage, soutenue en cela par la mise en scène d’une rare beauté que l’on doit à Xavier Lemaire, l’incroyable Isabelle Andréani nous cloue sur notre fauteuil, nous tire les larmes, nous amuse parfois. (…) Avec elle « Un cœur simple » s’apparente à un cantique rempli de résilience adressé à tous « les gens de peu » et autres bannis du bonheur et de la terre. » Jean-Rémi Barland, La Provence